Je te salue Djo! ou comment dégager la société des tutelles étouffantes et multiples!

Publié le par Ahmed Meliani

On m'a posé la question sur ma proximité du mouvement Mouvement "barakat" , je ne connais pas personnellement les initiateurs du mouvement à part ce qui se publie sur les réseaux sociaux et la presse, ou bien encore les attaques d'Ouyahia. Je reconnais que j'ai des sympathies pour le Mouvement, qui, pour moi, représente une partie de l'espoir et je m'en inspire du courage de ses initiateurs. Je me méfie, en même temps, de tous ceux qui qui tentent de dévoyer un mouvement citoyen dans l'espoir de l'utiliser comme marche-pied à des fins partisanes et électoralistes étroites et mesquines. L'histoire de notre pays, et d'autres, confirme plusieurs expériences similaires. Moi je me contente de me battre humblement pour mes idées et défendre dans le même mouvement l'indépendance d'un mouvement porteur d'espoir contre toute main-mise partisane étroite, sinon, ça serait sa mort y a trop de gens qui veulent un moyen citoyen, Voilà pourquoi je crie haut et fort que suis jaloux de mon indépendance, je suis jaloux encore plus de l'indépendance de ce mouvement et d'autres. L'Algérie souffre de trop de tutelles et je ne me permets d'être ne serait-ce qu'une petite tutelle! Ceci exclue-t-il une possible jonction entre les positions que je défends et celle de ce mouvement? Ça c'est exclu,, mon désir ardent et mon souhait le plus profond seraient la jonction entre toutes les forces citoyennes au sein et en dehors des institutions pour permettre un changement salutaire pour le pays. Un changement qui assoirait les bases d'une véritable république moderne démocratique et sociale et qui redonnerait l'espoir à ce peuple qui ne mérite les pressions multiples qu'il est entrain de subir. Donc, Mouvement Barakat, si l'occasion se présente permettez-moi de vous critiquer, je souhaite recevoir des critiques si jamais j'ose dire des bêtises, même sans le vouloir. Je souhaite ne me tromper, et je vous souhaite du plus profond de mon cœur, de tirer leçons des expériences passées. Je ne terminerais pas sans remercier celle qui m'a interpelé et qui m'a permis d'écrire ces quelques lignes. Je te salue Djo!

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